Des orages dévastateurs en Bresse et en Dombes
L’actualité nous annonce de plus en plus souvent des orages dévastateurs, en France et ailleurs. Qu’en est-il du passé ? Les orages violents, parfois mêlés de grêle, étaient déjà nombreux et dévastateurs.
Malgré leur formation géologique différente, la Bresse et la Dombes - autrefois rassemblées sous l’appellation de Grande Bresse - forment un ensemble géographique cohérent, situé entre deux chaînes de montagnes peu élevées, d’un côté celle du Mâconnais et du Beaujolais, de l’autre, celle du Revermont et du Bugey. Autrefois, dans cette vaste plaine rurale et à l’habitat dispersé, les phénomènes naturels se développaient jusqu’à leur paroxysme. Lorsqu’un orage éclatait, il libérait toutes ses forces accumulées et la foudre frappait parfois le sol dans un vacarme assourdissant et effrayant. Les anciens campagnards s’en souviennent.
Depuis, la population du département de l’Ain est passée de 363 290 habitants en 1872 à 663 202 en 2021. Durant cette période, l’homme a multiplié ses activités et couvert le territoire d’immeubles et d’équipements divers, modifiant l’atmosphère. Un nouvel équilibre s’est plus ou moins installé que vient perturbé le réchauffement climatique que confirme le G.I.E.C. (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Chacun peut le percevoir comme de simples jardiniers en cultivant leur potager.
Cette chronique ne s’insère nullement dans ce dossier. Par la lecture de la presse locale ancienne, elle propose simplement l’évocation de quelques évènements "extrêmes", selon la terminologie des météorologues.
D’abord des orages d’hiver, en février 1879 et janvier 1884
Les orages se développent essentiellement durant l’été mais, le jeudi 20 février 1879, le vent du midi a soufflé avec beaucoup de force durant l’après-midi et, le soir, la tempête est devenue épouvantable dans la ville de Bourg et dans les alentours. Des tuiles ont été arrachées et des vitres, brisées. Quatre tilleuls du square des Quinconces ont été arrachés. Sur le bord des routes, de nombreux peupliers ont été déracinés dont trente sur la route de Pont-d’Ain. Au jardin de la "Société d’horticulture", le cèdre de plus d’un mètre de circonférence a été brisé à quelques pieds du sol. Au cimetière de Bourg, à Thoissey ou encore à Meillonnas, beaucoup d’arbres ont été arrachés. Les bords de la Chalaronne sont jonchés de grands peupliers ; on dirait le lendemain d’une bataille.
L’ouragan du mois d’août 1877 n’avait pas occasionné de tels dégâts [1].
Cinq ans plus tard, dans la nuit du 26 au 27 janvier 1884, « le vent du midi a soufflé avec une véritable furie. C’était épouvantable. En ville, plusieurs cheminées ont été renversées, les tuiles arrachées des maisons exposées au vent ne sauraient être comptées. Deux portes d’entrée ont été abattues. À l’église Notre-Dame, le vent a enfoncé un panneau dans le vieux vitrail de la chapelle des saints Crépin et Crépinien ».
Dans la matinée suivante, de la grêle se mêle à la pluie. Sur l’ensemble de la région, les dégâts sont importants et, au port de Frans, deux bateaux chargés de blé ont coulé [2].
Et des orages d’été
Le 21 juillet 1880, la commune de Condeissiat est dévastée, vers quatre heures et demie de l’après-midi, par un orage suivant la direction du nord-ouest vers le sud-est. « Il s’annonce par un sourd grondement pareil à une canonnade ; des nuages menaçants se montrent à l’horizon et se dirigent vers nous avec une rapidité effrayante. Soudain, l’orage se déchaîne avec fureur, un vent violent s’élève, accompagné d’une pluie torrentielle, d’éclairs et de tonnerre. Les détonations se succèdent sans interruption. Bientôt, un crépitement sinistre avertit du malheur que chacun redoute : d’énormes grêlons se mettent de la partie. Le fracas est indescriptible.
La tourmente dure environ vingt minutes. Aussitôt l’orage apaisé, tout le monde se précipite dehors pour constater les ravages. Quel désolant spectacle ! Les récoltes, si belles quels instants auparavant, sont maintenant abîmées, perdues. Il a suffi d’un quart d’heure au fléau pour anéantir le fruit d’une année de travail [3] ».
L’église de Brou mutilée le 9 juin 1889
Au début du mois de juin 1889, les orages se succèdent en Bresse ou en Dombes et se déversent dans les vallées de la Saône ou de l’Ain. Le samedi 8 juin, au cours d’un violent orage poussé par le vent d’ouest, la grêle ravage plusieurs communes dombistes et « fait beaucoup de mal en passant sur Montracol ». Au même moment, la Saône est en crue et inonde les communes de Grièges et de Cormoranche.
Le lendemain, dimanche 9 juin, « vers 11 heures du soir, pendant un violent orage, la foudre a frappé le fleuron qui couronnait le fronton de la façade principale de l’Église de Brou. Le sommet de ce fronton avec le sphynx et sa colonne, côté nord, ont été démolis et fortement ébranlés ou disjoints ; le sphinx abattu et son support sont tombés en avant en endommageant la première galerie ; le fronton dispersé par le choc s’est abattu en grande partie sur la colossale statue de saint André, placée sur le bord de cette première galerie, au-dessus de la principale porte de l’église.
Cette chute de matériaux a aussi détérioré la seconde galerie et, par ricochet, brisé les verrières blanches de la grande croisée, derrière la statue de saint André. Le fluide électrique et les débris du fronton, projetés en arrière, ont pulvérisé une certaine étendue de la toiture en tuiles plates, située au-dessous, au nord. (...)
Les habitants du quartier de Brou ont été terrifiés par ce formidable coup de tonnerre.
Il est fort surprenant que le feu ne se soit pas déclaré dans la charpente des toitures [4] ».
La foudre a frappé à quelques mètres d’un paratonnerre et la partie endommagée venait d’être restaurée. L’ensemble du département est concerné par des orages. Après trois journées de pluies diluviennes, la Reyssouze déborde à Bourg, les cours d’eau du Haut-Bugey sortent de leur lit et Nantua est en partie inondé. Les villages de la montagne de Berthiand ont subi d’importants dégâts.
À l’aube du 4 septembre 1889, un orage, « d’une épouvantable violence » se déverse sur Bourg. « pendant une heure surtout, les éclairs et le tonnerre ont fait rage. Une pluie torrentielle s’est abattue sur la ville et, en un instant, les rues ont été transformées en véritables torrents. Elles étaient si remplies d’eau que la circulation était impossible pour les piétons. D’énormes quantités de gravier et de terre ont été charriées par les eaux et se sont accumulées au bas des pentes.
Dans les parties basses de la ville, un assez grand nombre de maisons sont inondées, non pas seulement dans les caves, mais dans les habitations et les magasins des rez-de-chaussée. On s’efforce, à l’heure où nous écrivons, d’assécher les maisons à l’aide de pompes [5] ».
De la Saône au Jura
Vers la mi-juillet 1889, des orages, accompagnés de grêle, balaient la Haute-Bresse et les premiers contreforts du Jura. Le 13 juillet, les grêlons ont la taille d’un œuf de poule à Ozan et à Mantenay, et d’une noix au Val-d’Épy ou à Saint-Jean-d’Étreux, au-dessus de Coligny. Au même moment, en Dombes, de Sathonay jusqu’à Sainte-Croix, le sol est recouvert de plusieurs centimètres de grêle.
Au printemps suivant, les 18 et 19 mai 1890, les orages s’étendent sur plusieurs départements, de la Loire au Jura, en passant par l’Ain. En bordure de Saône, la grêle ravage les vignes de Villié-Morgon, Thoissey, Saint-Didier-sur-Chalaronne et Garnerans, comme dans les villages revermontois de Tossiat, Journans, Ramasse, Revonnas et Ceyzériat où les côteaux sont ravinés, les vignes déracinées et le maïs haché.
Néanmoins cette violence n’atteint pas celle du cyclone qui frappe Saint-Claude et les alentours, où l’on déplore cinq victimes. Les dégâts sont tels que des collectes en faveur des « sinistrés de Saint-Claude » sont lancées dans l’Ain et les départements voisins. Après les études de l’Académie des sciences de Paris, les experts ont estimé que ce cyclone avait eu l’équivalence d’une tornade des États-Unis.
Deux semaines plus tard, le 2 juin 1891, une trombe d’eau, mêlée de grêle et de violents coups de tonnerre, s’abat sur Trévoux et ses environs où les récoltes sont couchées et les terrains en pente ravinés.
Toujours en 1891, le 13 novembre, un ouragan arrache les tuiles des toitures de Trévoux. Dans les villages de Reyrieux, Saint-Bernard, Saint-Didier, Ars ou Mizérieux, les arbres arrachés se comptent par centaines et des meules de pailles sont emportées. Le service des chemins de fer est fortement entravé sur toutes les lignes.
Au cours de l’été 1892, les 30 et 31 juillet 1892, alors que des grêlons de la taille d’un œuf frappent la région de Bellegarde-sur-Valserine, la grêle détériore encore vignes, arbres fruitiers et récoltes sur l’arrondissement de Trévoux. À Saint-Paul-de-Varax, des fils télégraphiques sont brisés.
Toujours en Dombes, le 23 août 1893, dans le triangle formé par le port de Belleville, Montmerle et Guéreins-Genouilleux, l’orage prend le caractère d’un véritable cyclone. La grêle frappe les maisons et les arbres comme des volées de mitraille. Le vent est d’une violence inouïe. Dans la plaine de Guéreins, trois chars de foin ont été enlevés, l’un jeté à la rivière. Les peupliers sont brisés et les routes coupées. « Les vignes ont été couchées comme sous le passage d’une herse formidable, les feuilles hachées, le raisin écrasé. Le vin coulait dans les sillons des vignes, entraînant dans l’eau rougie des grappes coupées et d’énormes grêlons qui s’amassaient au bas des côtes. (...) Chose étrange, seules les côtes de Montmerle, Guéreins et Genouilleux ont souffert [6] ».
Des orages à répétition
Des orages violents surviennent pratiquement chaque année. Sans les répertorier tous, quelques-uns, "extraordinaires", peuvent être cités : le 24 septembre 1894, de la Côtière au Val-de-Saône et à la Haute-Bresse ; le 2 juillet 1897 en soirée, sur la Dombes et la Bresse ; le 19 juillet 1898 sur le village de Dompierre-sur-Veyle ou encore le 28 juillet 1901. Durant l’après-midi de ce jour, en dix minutes, un véritable cyclone de pluie et de grêle hache les récoltes et brise les vitres des communes d’Ambérieu à Nantua.
D’autres encore peuvent être ajoutés. Le 7 juillet 1903, des grêlons de la grosseur d’une noix détruisent la moitié des récoltes de Pont-d’Ain, Druillat, La Tranclière et Saint-Martin-du-Mont. Le 18 mai 1904, un orage, arrivé des bords de la Saône et chargé de grêle, déracine de gros arbres au Champ-de-Mars, au parc de la préfecture et à l’allée de Challes à Bourg. Il poursuit sa route sur le Revermont et se transforme en "cyclone" à Villereversure.
Octobre 1911
Le Courrier de l’Ain du 10 octobre 1911 titre : Cyclone & grêle sur Bourg et raconte les évènements de la veille, le lundi 9 octobre, presque en direct ou, du moins, au fur et à mesure de l’arrivée des informations.
« Cet après-midi, à trois heures, après une journée lourde de chaleur faisant suite à l’après-midi pluvieuse d’hier dimanche, un orage de grande violence a éclaté sur la ville de Bourg et ses environs.
La foudre a d’abord fait des siennes. Le ciel était noir comme de l’encre. Le vent d’ouest a soufflé en ouragan et causé des dégâts. Quelques grêlons sont tombés. Ça a été ensuite une pluie aussi violente que peu prolongée, heureusement. Mais d’autres orages paraissent à l’horizon.
Au moment de mettre sous presse, nous apprenons que l’ouragan a causé de gros dommages dans le quartier de Bel-Air. D’innombrables vitres ont été cassées à l’École normale d’instituteurs. Les tuiles de la toiture ont été soulevées comme des feuilles et projetées au loin à terre. D’importantes réparations sont à faire. Plusieurs arbres ont été arrachés dans le jardin. À la gendarmerie, de nombreuses tuiles ont été également enlevées de la toiture. Dans la cour, un sapin a été cassé.
La plupart des villas ont également souffert. Des volets ont été arrachés., des vitres brisées, des arbustes cassés. Nombre de toitures ont eu des tuiles enlevées.
Le grand échafaudage du nouveau réservoir des eaux a été jeté bas dans sa presque totalité. À la gare P.L.M., les tuiles ont aussi volé sous la poussée du vent, notamment au-dessus des salles d’attente et du buffet. (...) Dans l’avenue de la gare, plusieurs acacias ont été cassés. Des personnes qui passaient sur le Pont-de-Lyon ont été renversées.
Au quartier de Brou, mêmes ravages. Les marronniers de l’hôpital et les sycomores du boulevard ont été éclaircis ; leurs branches jonchent le sol. Des tuiles de l’Hôtel-Dieu ont tourbillonné comme des feuilles mortes. Des cheminées sont abattues. L’une d’elles est tombée dans le bureau de l’économe.
Les arbres de la rue du Quatre-Septembre et du Champ-de-Foire ont été également éclaircis par la cassure de nombreuses branches. En ville, plus d’une cheminée a été abattue. La banne du Café Français a été tordue.
...
À 4 heures, nouvel orage. Cette fois, c’est la grêle qui tombe grosse comme des noix et blesse les personnes qu’elle surprend dans les rues, notamment les enfants qui viennent de sortir des écoles. Elle casse les carreaux des fenêtres donnant à l’Ouest, notamment au lycée de garçons et au lycée de jeunes filles.
Cette chute de grêlons ne dure que quelques minutes, encore heureusement. Des chevaux attelés, stationnant à la gare, soit pour les voyageurs, soit pour le camionnage, sont partis à la débandade sous les coups des grêlons. Plusieurs se sont emballés ».
Le lendemain, le Courrier de l’Ain publie les évènements qui se sont produits simultanément à Lyon. Ils sont révélateurs de la puissance que peut atteindre un orage.
Une trombe sur Lyon, au même moment
« De mémoire d’homme, on n’avait vu un orage comparable à celui qui s’est abattu hier sur Lyon. On parle bien du fameux orage de 1873 mais il n’eut pas la violence de celui qui a sévi sur Lyon, hier, de 6h30 à 6h45 [après-midi]. La matinée avait été d’une chaleur anormale. Un soleil de juillet, pas un souffle de vent. Dans l’après-midi, le temps s’était gâté. (...).
Ce fut d’abord une pluie battante, puis quelques grêlons firent leur apparition. Au bout de cinq minutes, c’était un véritable bombardement. Les grêlons augmentent peu à peu de volume, ils sont d’abord de la grosseur d’une noisette, puis d’une noix. Ils deviennent plus nombreux, plus serrés. Les vitres sautent, les arbres sont hachés. Les passants se réfugient dans les allées. Sous les passages vitrés de l’Hôtel-Dieu et de l’Arque, c’est une véritable panique qui se produit. La foule s’était d’abord réfugiée sous ces passages pour se mettre à l’abri de la pluie, mais quand les vitres de couverture furent brisées et tombèrent, ce fut une fuite générale. (...)
Pendant un quart d’heure, ce fut un véritable affolement. Les tramways furent d’abord envahis, puis désertés lorsqu’on entendit sauter les glaces sous les coups de grêlons.
À sept heures moins le quart, la ville, surtout dans le centre, avait un aspect extraordinaire. On marchait sur des vitres brisées, les allées étaient des torrents. Sur les quais, le sol était couvert d’une couche épaisse de feuilles coupées car les arbres avaient été déchiquetés. Enfin, une couche de grêlons donnait aux quais, aux rues, aux ponts, une allure de janvier neigeux. L’épaisseur de cette couche glacée était de dix à quinze centimètres.
C’est la journée des vitriers. À l’Hôtel-Dieu, les salles de la maternité et d’autres salles ont été inondées. Il a fallu recourir aux pompiers.
Pendant toute la durée de l’orage, le tonnerre a grondé, les éclairs ont sillonné le ciel. La foudre est tombée sur plusieurs points de la ville. Elle a causé, entre autres accidents, la mort d’un homme. Un peuplier du quai Perrache fut frappé par la foudre et renversé. Dans sa chute, il atteignit un passant de 31 ans qui fut écrasé et, en même temps, foudroyé. La mort fut instantanée.
Pendant toute la soirée, les commerçants et les concierges s’occupèrent à enlever les amas de glace formés par la grêle. Les inondations de rez-de-chaussée et d’appartements sont innombrables. (...) Sur plusieurs lignes de tramways, la circulation a été interrompue par des éboulements. Plusieurs tramways ont été enflammés par des décharges électriques. À la Mulatière, un cheval a été tué par la foudre ».
Toujours des désastres
Relever tous les épisodes rendrait la lecture fastidieuse. Seuls quelques évènements sont ajoutés comme le cyclone du 11 août 1927 qui balaie le département de la Dombes au Haut-Bugey en passant par Bourg. Là, vers 16 heures, le ciel s’obscurcit subitement et « quelques minutes après, une pluie diluvienne, accompagnée de grêle, s’écrasait sur le sol en une énorme trombe d’eau fouettée par un ouragan d’une rage et d’une violence inouïe. En un clin d’œil, les rues de notre ville, où la nuit s’était faite presque complète, étaient transformées en torrents impétueux. (...) Les éléments déchaînés, poursuivant leur dévastation, déracinaient les plus gros arbres de nos places publiques. (...)
L’allée de Challes a particulièrement souffert de l’orage et, quand le calme fut revenu, elle attira particulièrement la curiosité du public. Cette allée si ombragée, bordée par la rivière, est maintenant méconnaissable. Plus de trente arbres ont été déracinés sur un parcours très restreint. Tous ces géants de verdure étendus sur le sol, dans la même direction, barrent la route entièrement. (...)
Au Château de la Garde, l’allée entière de sapins a été balayée par le vent et 200 arbres ont été arrachés dans la propriété. La forêt de Seillon a beaucoup souffert ».
Les dégâts sont importants dans le centre-ville, dans les environs, comme dans les vallées de l’Ain et du Suran. « À Serrières-sur-Ain, une vache a été tuée par la chute d’un arbre. À Bohas et Hautecour, de nombreux noyers ont été déracinés. Les champs de maïs sont nivelés comme si un gros rouleau y était passé. La ligne de transport électrique a été coupée, à Bohas, par suite de chute de poteaux. Partout enfin, les toitures sont gravement endommagées [7] ».
Plus récemment
Rémi Riche
Décembre 2024. Avec la collaboration de Gyliane Millet.
À propos de météorologie :
CHALEURS ET SÉCHERESSES EN BRESSE ET REVERMONT
L’inondation de 1935 à Bourg et dans les environs
[1] Journal de l’Ain des 21 et 24 février 1879.
[2] Journal de l’Ain du 27 janvier 1884.
[3] Lettre du maire du 23 juillet 1880 au Journal de l’Ain.
[4] Courrier de l’Ain du 11 juin 1889.
[5] Courrier de l’Ain du 4 septembre 1889. Le journal paraissait en début d’après-midi.
[6] Informations recueillies dans le Journal de l’Ain.
[7] Extraits du Courrier de l’Ain du 13 août 1927.